Visites de l’automne 2013

Automne 2013

Prix des conférences : 12€ ; pour les journées : 20€ ; Entrée au musée ou à l’exposition non comprise. RV à l’accueil des groupes ou devant le musée 20 min avant l’heure indiquée.

Musée Maillol : Les Etrusques :

Le 20 septembre à 14h00, (le 23 septembre à 11h00 complète), le 28 septembre à 11h40 au

Le musée Maillol présente une exposition exceptionnelle consacrée à la civilisation étrusque, du IXe au Ier siècle avant J.-C. Huit siècles d’histoire qui se déroulent au centre de la péninsule italienne, avant que celle-ci ne soit entièrement dominée par Rome. Tous les aspects de la culture des Etrusques seront illustrés par des témoins de la vie sociale et quotidienne, 250 œuvres provenant des grandes cités de l’Etrurie antique et qui touchent aussi bien à la religion, l’écriture, l’armement, le sport, la peinture et la sculpture, l’artisanat avec l’orfèvrerie, les bronzes et les céramiques.

 

Musée du Luxembourg : La Renaissance et rêve : Bosch, Véronèse, Greco

Le (9 octobre à 11h00  complète), le 11 octobre à 16h45, le 21 octobre à 11 h (le 16 novembre à 9h complète)

Réunissant près de quatre-vingts œuvres d’artistes illustres de la Renaissance, de Jérôme Bosch à Véronèse, en passant par Dürer ou Le Corrège, l’exposition permet de découvrir un âge d’or de la représentation du rêve. Entre récits oniriques et visions cauchemardesques, le parcours conduit de l’endormissement au réveil et invite chacun à laisser libres les voies de son imagination et à s’abandonner aux troublantes images du rêve.

Musée du Louvre : Le printemps de la Renaissance, les arts à Florence 1400-1460

Le 18 novembre à 10h (complète), le 22 novembre à 10h, le 25 novembre à 10h, le 29 novembre à 19h30,

Après les grandes expositions consacrées aux maîtres de l’apogée de la Renaissance, Léonard de Vinci et Raphaël, le printemps de la Renaissance porte sur la genèse de cet immense mouvement artistique et culturel qui nait à Florence au début du XV siècle.

La sculpture, qui tient une place majeure dans ce renouveau, est le sujet central de cette exposition. 140 œuvres, dont plusieurs monumentales, sont réparties dans dix sections thématique : autour des sculptures rayonnent peintures, dessins, manuscrits, pièces d’orfèvrerie et majoliques.

Petit Palais : Jordaens, la gloire d’Anvers

Le 3 décembre à 10h (complète), le 6 décembre à 10h, le 7 décembre à 13h, le 10 décembre à 10 h

Du trio de tête de la peinture flamande du XVIIe siècle, Rubens-Van Dyck- Jordaens, ce dernier est peut-être moins connu en France faute d’y avoir jamais bénéficié d’une grande rétrospective. Le défi est relevé par le Petit Palais qui fait de l’exposition Jordaens, la gloire d’Anvers l’évènement majeur de la rentrée parisienne dans le domaine de la peinture ancienne.

Sa longue carrière – elle se prolongera plus de trente ans après la mort de Rubens en 1640 – et la facilité de l’artiste à brosser de vastes toiles aux couleurs étincelantes lui permettront, avec le renfort d’un atelier en ordre de bataille, de fournir une partie de l’Europe entière en tableaux d’autel et en grandes compositions mythologiques. Alors qu’Anvers perdait son statut de capitale économique du continent, Jordaens en maintint le prestige artistique grâce à ses productions placées sous le signe de l’abondance et de la splendeur du coloris.

Musée d’Orsay : Masculin/Masculin, l’homme nu dans l’art de 1800 à nos jours

Le 14 décembre à 9h15, le 18 décembre à 14h45 et le 20 décembre à 9h15

Alors que le nu féminin s’expose aussi régulièrement que naturellement, le corps masculin n’a pas eu la même faveur. Pourtant, la nudité masculine était pendant longtemps au fondement de la formation académique du XVIIe au XIXe siècles et constitue une ligne de force de la création en Occident. L’exposition Masculin / Masculin a l’ambition d’approfondir, dans une logique à la fois interprétative, ludique, sociologique et philosophique toutes les dimensions et significations de la nudité masculine en art.
Parce que le XIXe siècle puise au classicisme du XVIIIe siècle et que son écho résonne jusqu’à nos jours, cette exposition élargit l’horizon traditionnel du musée d’Orsay pour embrasser plus deux siècles de création, dans toutes les techniques, peinture, sculpture, art graphique et bien sûr photographie, qui auront une place égale dans le parcours.

Grand Palais : Felix Vallotton : le Feu sous la glace

Le 3 janvier à 11h30, le 3 janvier à 14h45

Félix Vallotton (1865-1925) est un artiste unique qui, bien que proche des nabis, garde sa vie durant un style à la fois très personnel et résolument moderne. Il adopte ainsi des cadrages audacieux et des perspectives aplaties empruntées aux estampes japonaises et à la photographie. Reconnaissables entre toutes, ses toiles se distinguent par des couleurs raffinées et un dessin précis découpant la forme qu’il met également au service de la gravure. Travailleur acharné, il s’essaie à tous les genres : portrait, nu, paysage, nature morte et même peinture d’histoire. Le Grand Palais propose la première rétrospective consacrée à l’artiste par un musée national parisien depuis près d’un demi-siècle.

Centre Pompidou : le Surréalisme et l’objet

Le 13 janvier à 19h45, le 15 janvier à 11h45, le 14 février à 15h15 au

Autour d’une centaine de sculptures et d’une quarantaine de photographies, cette exposition permet de suivre toute l’histoire du mouvement surréaliste depuis sa fondation dans les années 1920, à sa reconnaissance à New York pendant la Seconde Guerre mondiale, en passant par son succès international dans les années 1930. L’exposition est construite autour du rapport des artistes à l’objet et met en lumière les différents thèmes surréalistes, parmi lesquels l’articulation de la conscience individuelle avec la société ou encore le refus de l’ethnocentrisme occidental qui se manifeste par un fort intérêt pour les arts d’Afrique, des Amériques et d’Océanie.

Cette exposition exceptionnelle met en lumière les fortunes de la sculpture surréaliste en présentant des oeuvres d’André Masson, Joan Miró, Jean Arp,Hans Bellmer, Alexander Calder, Joseph Cornell, Salvador Dalí, Marcel Duchamp, Max Ernst, Alberto Giacometti, Isamu Nogushi, Man Ray, Claude Cahun, Valentine Hugo
Le contrepoint contemporain apporté par des oeuvresde Mona Hatoum, Ed Ruscha, Cindy Sherman,Arnault Labelle-Rojoux, Paul Mc Carthy…, souligne la pérennité des questions soulevées par le Surréalisme autour de la sculpture et de l’objet.